
À PROPOS
Mon histoire
Je fais partie de celles et ceux qui n’ont pas eu à chercher un travail. Le travail est venu à moi! On m’a recrutée dès la fin de l’université pour devenir consultante en collecte de fonds. J’ai passé 15 ans dans ce secteur, en fondant même ma propre entreprise. C’était génial d’aider le monde associatif de toute sorte à faire mieux avec des ressources réduites.


Au fil du temps, j’ai aussi pris conscience que bon nombre d’organisations avaient un besoin criant d’espaces physiques adaptés et sécuritaires. Il ne semblait pourtant y avoir jamais assez de temps, d’argent, d’options viables qui collaient à leurs besoins. Et le temps jouait en leur défaveur quand il s’agissait de fuites au toit, de bureaux en proie à l’humidité ou encore de portes qui ne fermaient plus!
Je réalisais souvent à quel point ces organisations associatives pourraient être plus efficaces si elles avaient au moins des bureaux décents.
Ma curiosité l'a emporté sur mes peurs et j'ai décidé de devenir menuisière. Talent manuel? Non. Famille dans l'entreprise? Non. Expérience dans le domaine? Nada.
Le bois + la créativité semblaient illuminer mon univers. Et donc, je suis retourné à l'école à temps plein pour être charpentière-menuisière et j'ai obtenu mon diplôme en 2018.


Chaque être humain sur la planète mérite d’avoir des chances égales pour explorer les opportunités de carrière.
Je réalise que je suis privilégiée de vivre dans une société qui a pris la mesure de cette réalité et qui fait de son mieux pour contribuer dans ce sens. Je suis aussi d’avis que le secteur de la construction se doit de se diversifier : couleur, culture, langues, genres.

Il est temps de révolutionner la façon de délivrer les services de rénovation et de construction, que ce soit pour une simple terrasse de jardin comme pour une bâtisse commerciale de 30 étages.

Guidée par la passion, l’intégrité et l’empathie, je m’efforce de placer la barre plus haute en termes d’attentes dans le secteur de la construction.
Vous partagez la même passion? Parlons-nous!